Blogue sportif_Préparer sa saison de beach volley

Comment bien préparer sa saison de beach volley ?

Quand la belle saison approche, c’est le moment de planifier et d’organiser la prochaine saison de beach volley. Que ta fille soit une nouvelle passionnée du sable ou qu’elle prenne ça très au sérieux, voici un guide complet pour l’aider à se préparer et maximiser son plaisir (et ses performances) tout au long de l’été.


1. Définir ses objectifs

Avant de plonger dans le sable, il est important de savoir pourquoi elle joue et ce qu’elle souhaite accomplir cette saison :

  • Veut-elle simplement s’amuser et apprendre ?
  • A-t-elle des objectifs de performance, comme participer à des tournois ou améliorer un aspect précis de son jeu ?
  • Souhaite-t-elle tester ses limites et travailler sur sa résilience mentale ?

👉 Astuce : Note ces objectifs ensemble. Les écrire aide à rester motivée et à mesurer ses progrès.


2. Analyser son horaire

L’été est souvent rempli d’activités : vacances, camps, tournois, sorties entre amis. Pour que tout fonctionne, planifiez ensemble :

  • Ses heures d’entraînement et les tournois qu’elle veut faire.
  • Des plages horaires pour le repos (eh oui, on y revient plus loin !Pour les tournois, tu peux aller voir sur le site de Volleyball Québec.

3. Choisir son coach et ses cours

Le choix du coach est essentiel pour qu’elle progresse et reste motivée. Cherche un programme ou un club qui correspond à son niveau et ses objectifs.

  • Pour les nouvelles joueuses : des cours d’initiation où elle pourra apprendre les bases dans un environnement bienveillant.
  • Pour les joueuses avancées : un coaching qui se concentre sur les techniques avancées, les stratégies de jeu et la préparation mentale.

👉 Astuce : Dans mon club, les groupes sont restreints pour maximiser les répétitions et l’apprentissage. C’est une vraie différence ! Consulte les cours offerts ici.


4. Se renseigner sur les règlements et formats de jeu

Le beach volley a ses propres règles, différentes du volleyball en gymnase :

  • Seulement 2 joueuses par équipe : ça veut dire qu’elle sera impliquée dans chaque action !
  • Les contacts limités : pas de touche ouverte au-dessus de la tête.
  • Les conditions extérieures (vent, soleil) ajoutent un élément stratégique unique.

Comprendre ces règles avant les matchs lui donnera un avantage et lui évitera des surprises. Tu peux consulter tous les règlements officiels ici


5. Préparer son équipement

Le bon équipement peut faire une grande différence sur le sable :

  • Des lunettes de soleil polarisées pour éviter d’être aveuglée.
  • De la crème solaire résistante à l’eau.
  • Un ballon de qualité pour s’entraîner entre les cours.
  • Une gourde réutilisable pour rester hydratée.

6. Se préparer physiquement

Si elle peut, encourager ta fille à se préparer avant que la saison ne commence peut être très bénéfique :

  • Renforcer les jambes avec des exercices comme les squats et les sprints pour mieux bouger sur le sable.
  • Travailler sur son endurance avec des exercices cardio.
  • Ajouter des exercices de stabilisation pour prévenir les blessures.

👉 Astuce : Même de petites habitudes, comme 10 minutes d’exercices par jour, peuvent avoir un impact positif.


7. Planifier des moments de repos

Le beach volley est exigeant, et il est important d’éviter le surentraînement. Planifie des moments de repos pour qu’elle puisse recharger ses batteries :

  • Une journée off par semaine pour récupérer.
  • Des activités relaxantes en dehors du sport : yoga, dessin ou bain de soleil avec un bon livre.

Le repos est essentiel à la progression. Pas de culpabilité à ne rien faire une fois de temps en temps !


8. S’inspirer des pros

Regarder des matchs de beach volley de haut niveau peut être à la fois motivant et éducatif. Ta fille peut observer :

  • Les déplacements sur le sable.
  • Les stratégies de placement.
  • Les attitudes et comportements face à la pression.

Tu peux t’abonner au Beach Pro Tour qui diffuse tous les matchs internationaux importants!


9. Soutenir sa motivation

Enfin, rappelle-toi que chaque joueuse est différente. Que ta fille vise des podiums ou qu’elle joue pour le plaisir, l’important est qu’elle trouve son bonheur sur le sable.

Préparer sa saison de beach volley, c’est comme partir en voyage. Ça fait partie de l’excitation et ça donne envie de se lancer, pas vrai?

Coach Mel

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Entrainements volleyball de plage à Montréal

blogue sportif les Vitamines et le sport

Les vitamines et le sport : Les clés pour performer

En tant qu’athlète et coach, je te le dis : l’alimentation peut être un véritable superpouvoir pour ta fille qui pratique le sport. Attention, je ne suis pas nutritionniste (je laisse ça aux pros 👩‍⚕️), mais après des années d’entraînement et de compétitions, j’ai appris que les vitamines et minéraux sont des alliés précieux pour performer, récupérer et rester en santé.

Découvre pourquoi elles sont essentielles et comment intégrer des aliments riches en vitamines dans l’assiette de ta sportive.


Pourquoi les vitamines sont essentielles pour le sport

  1. Éviter les maladies
    Un ado malade, c’est un ado qui ne peut pas jouer. Les vitamines comme la C (présente dans les agrumes, les kiwis et les baies) et la D (qu’on trouve notamment dans les poissons gras) boostent le système immunitaire, réduisant ainsi les risques de rhumes et de grippes.

👉 Astuce : En hiver, quand le soleil se fait rare, les aliments riches en vitamine D sont encore plus importants.


  1. Améliorer la performance
    Les muscles, l’énergie et même la capacité à se concentrer dépendent des bons nutriments. Les vitamines B (comme celles présentes dans les lentilles, pois chiches et œufs) aident à transformer les aliments en énergie, tandis que le fer (dans les épinards ou les abats de viande) améliore l’oxygénation des muscles.

👉 Résultat : Moins de fatigue, une meilleure récupération et même une cicatrisation plus rapide en cas de petites blessures.


  1. Réguler les hormones
    Les ados, ça rime souvent avec montagnes russes hormonales (bonjour l’humeur, l’acné et les crampes menstruelles !). Les vitamines A, D, E et K jouent un rôle clé dans l’équilibre hormonal et aident à calmer les inflammations liées aux règles ou aux poussées d’acné.

👉 Des aliments riches en oméga-3, comme le saumon ou les graines de lin, aident aussi à réduire les crampes et à stabiliser l’humeur.


Les superaliments à intégrer dans ses repas

Voici une liste d’aliments simples et efficaces pour booster l’alimentation de ta fille sportive :

  1. Lentilles, pois chiches, haricots : Riches en fibres, protéines et fer, ils aident à maintenir son énergie et à améliorer la récupération.
  2. Saumon, sardines, thon : Pleins d’oméga-3 pour les muscles et les articulations.
  3. Œufs, abats de viande : Sources de protéines et de vitamines B12 pour l’énergie.
  4. Baies, bananes, kiwi, clémentines : Pour un apport en vitamines C et une bonne dose d’antioxydants.
  5. Graines de chia, graines de lin, noix variées : De bons gras pour calmer les inflammations.
  6. Patates douces, kale, épinards, choux de Bruxelles, brocoli, champignons : Riches en vitamines A, C, et en magnésium pour des muscles en santé.
  7. Huile de poisson, huile d’olive : Parfaites pour réduire l’inflammation et renforcer le système immunitaire.

Des ressources pour aller plus loin

Pour plus d’infos sur les vitamines et minéraux naturels, je te recommande le livre Guide des vitamines et minéraux naturels. C’est une excellente ressource pour comprendre l’impact des nutriments sur la santé.

Et si tu veux une recette pratique et gourmande pour renforcer son système immunitaire, découvre celle de Ma Nutritionniste.


Recette express pour renforcer le système immunitaire

Voici une petite idée rapide pour le sport, bourré de vitamines  :

Smoothie énergétique aux superaliments

  • 1 banane
  • 1 tasse de baies (bleuets, fraises, framboises)
  • 1 cuillère à soupe de graines de chia
  • 1 tasse de lait d’amande ou de yogourt nature
  • Une poignée d’épinards frais (on ne les goûte même pas, promis !)

👉 Mixe le tout, et hop, une dose de vitamines, de fibres et d’énergie pour affronter les entraînements ou les journées d’école !


Le mot de la fin : Les vitamines, l’allié sportif

Les vitamines et minéraux sont bien plus qu’un détail dans l’alimentation. Ils aident ta fille à mieux performer, à récupérer plus vite et à rester en santé tout au long de la saison sportive.

Et n’oublie pas : chaque athlète est différente. Si elle a des besoins spécifiques ou des problèmes récurrents (comme de grosses fatigues ou des crampes fréquentes), n’hésite pas à consulter une nutritionniste ou un médecin pour un coup de pouce supplémentaire.

Prêt(e) à vitaminer ses repas ? 🏐

Pour plus de conseils pratiques, consulte l’article sur la  Nutrition sportive.

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Blogue sportif Légumes et sport

Les Légumes et le Sport : Astuces pour Faire Manger des Légumes à Ton Ado Sportif !

On va pas se mentir, les légumes ne sont pas toujours les meilleurs amis des ados… surtout quand on les compare à une poutine ou une pizza après un gros entraînement. Mais en tant que parent d’une sportive, tu sais que ce qu’ils mettent dans leur assiette joue un rôle clé dans leurs performances. Alors, comment faire passer les légumes sans une guerre à table ? Pas de panique, je te partage mes astuces (de coach et d’athlète) pour les rendre plus « cool » aux yeux de ton ado.


Pourquoi les légumes, c’est magique pour les sportifs ?

  1. Anti-crampes : Les vitamines qui boostent les muscles
    Les légumes sont une bombe de vitamines et minéraux, notamment le potassium et le magnésium, qui aident les muscles à bien se contracter et prévenir les crampes. Ton ado a mal aux jambes après un entraînement ? Un bon avocat, des épinards ou des patates douces peuvent l’aider à se sentir mieux. Le brocoli aussi est un super héros : riche en calcium, il participe à la santé musculaire et osseuse.

👉 Astuce : Mets une touche fun en préparant des « chips » de kale au four ou un smoothie avec des épinards discrets (et un goût dominé par les fruits, promis !).


  1. Digestion au top : L’énergie qui dure
    Les légumes sont riches en fibres, ce qui aide à réguler l’énergie sur une longue durée et évite les fringales soudaines. Ils permettent aussi de garder une digestion en mode zen, même après un entraînement intense. Des carottes croquantes, des courgettes ou des betteraves sont parfaites pour maintenir ce bel équilibre.

👉 Astuce : Propose-les en crudités avec une trempette maison (yogourt grec, citron, ail) avant le repas. Les ados adorent le côté « snack » qui se mange avec les doigts !


  1. Récupération express : Réduction de l’inflammation
    Après un entraînement, le corps est parfois un peu « en feu », surtout si ton ado enchaîne les entraînements ou les matchs. Les légumes riches en antioxydants, comme les poivrons rouges, les tomates, ou encore les choux de Bruxelles, sont là pour calmer le jeu et accélérer la récupération.

👉 Astuce : Une soupe maison, c’est l’arme secrète. Passe des légumes rôtis au mixeur avec un bouillon léger, et paf, voilà une option réconfortante et anti-inflammatoire qui passe comme une lettre à la poste.


  1. Hydratation : Gorgés d’eau !
    Certains légumes, comme le concombre, la laitue, le céleri ou la courgette, sont composés à plus de 90 % d’eau. En pleine période estivale ou après un gros effort, ils sont un excellent complément pour maintenir l’hydratation.

👉 Astuce : Prépare une salade super fraîche avec des concombres, des morceaux de melon d’eau et un filet de citron. C’est simple, rafraîchissant et agréable à manger après un entraînement.


Mes astuces pour rendre les légumes irrésistibles

  • 4 couleurs dans l’assiette : Plus c’est coloré, plus c’est fun (et nutritif !). Fais une salade arc-en-ciel avec des poivrons rouges, du maïs jaune, des feuilles vertes et des betteraves violettes. Ça claque visuellement et ça attire même les plus sceptiques.
  • Les légumes, c’est en début de repas : Quand ton ado rentre affamé(e), propose des crudités avant même qu’il/elle ne pense à réclamer des pâtes. Une fois l’assiette de légumes attaquée, c’est gagné !
  • Des soupes maison : Les légumes en morceaux, c’est parfois un non catégorique. Mais une soupe bien lisse et gourmande, avec un peu de fromage râpé ou des croûtons croustillants, ça passe beaucoup plus facilement.
  • Les intégrer discrètement : Ajoute des légumes râpés dans des recettes qu’il/elle adore déjà, comme des boulettes de viande, des muffins salés ou même une pâte à pizza maison. C’est presque magique !
  • Un défi cuisine : Propose un challenge familial : « Qui fait l’assiette la plus colorée ou la salade la plus originale ? » Les ados adorent la compétition, même en cuisine.

En résumé, les légumes et le sport

Les légumes, ce n’est pas juste pour le plaisir des parents, c’est une vraie clé pour la performance et la santé des jeunes athlètes. Et même si ton ado râle au début, en lui expliquant que ça aide à éviter les crampes, à récupérer plus vite et à rester au top de ses matchs, il/elle finira par les adopter… avec un peu de ruse et de patience.

Alors, à toi de jouer ! Et si jamais il/elle est encore sceptique, rappelle-lui que même les grands athlètes pro carburent aux légumes. Après tout, une assiette colorée, c’est le début de la victoire !

Coach Mel 🥦💪

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blogue sportif menstruations et sport

Gérer ses règles en pleine action !

Ah, les menstruations pendant le sport… Elles débarquent sans prévenir, et bien souvent, en plein milieu d’un match de volley, ce qui n’aide pas toujours à garder son énergie à fond. Et là, en tant qu’athlète et coach, je peux te dire que même si je ne suis pas experte en gynécologie, les menstruations et le sport, ça me connaît bien ! Alors, pas de panique, je vais te donner quelques astuces pratiques pour que ton ado puisse continuer à jouer, même pendant ses règles.

1. Énergie en baisse : Pourquoi c’est normal

C’est tout à fait normal que ton ado soit un peu plus fatiguée pendant ses règles. Le corps bosse plus pour évacuer les tissus et gérer l’hormone du stress (salut cortisol !). Ça peut laisser moins d’énergie pour courir après le ballon ou se concentrer pleinement sur le jeu. Si tu remarques qu’elle est un peu à côté de la plaque, c’est OK. Encourage-la à écouter son corps, à se reposer un peu plus et à ajuster son niveau d’effort si nécessaire.

2. Les tendons sont plus « lousses » : Aller doucement

Pendant ses règles, les tendons et ligaments peuvent être plus détendus à cause des hormones. Ça veut dire qu’il y a un risque plus élevé de se blesser, donc on y va plus doucement. Si elle a tendance à se faire des entorses ou ressent des douleurs plus facilement, pas de panique, il suffit de ralentir un peu l’intensité. Un bon échauffement et des étirements soigneux sont hyper importants !

3. Solutions confos : On s’équipe pour être à l’aise

Côté confort, on est chanceux, il y a plein de solutions pour aider ton ado à se sentir mieux pendant l’effort. Par exemple, la coupe menstruelle et les sous-vêtements menstruels sont des alternatives super pratiques et confortables. Plus besoin de se soucier des fuites ou de l’inconfort, et ça permet de bouger librement sans y penser à chaque instant. Les shorts de sport avec une doublure intégrée sont aussi une bonne option.
Il y a vraiment plein d’options sur le marché, mais en voici quelque-uns pour donner une idée:

4. Crampes et douleurs : Quelques solutions naturelles

Les crampes pendant les règles, on connaît toutes ça ! C’est vraiment un des pires aspects, mais il existe des moyens de soulager un peu tout ça. Un bon combo, c’est d’encourager ton ado à manger des bons gras (avocats, noix, poissons gras) et des glucides complexes (bananes, patates douces, céréales complètes). Ces aliments peuvent aider à apaiser les douleurs et à calmer l’inflammation.

Aussi, un peu de sport pendant les menstruations, ça peut faire des miracles ! Paradoxalement, l’exercice léger, comme une marche rapide ou du yoga, peut réduire les crampes en stimulant la circulation sanguine et en libérant des endorphines (les hormones du bonheur, comme j’aime dire). Et si ça chauffe vraiment, une compresse chaude sur le bas du ventre peut vraiment soulager les douleurs. Une bouillotte, ou même des patchs chauffants trouvés en pharmacie, feront parfaitement l’affaire.

5. Quelques autres astuces pratiques pour alléger les périodes de règles sportives :

  • Hydratation : On oublie pas de boire ! Cela aide non seulement à rester performant(e), mais ça peut aussi réduire les ballonnements et prévenir les maux de tête.
  • Écoute de son corps : Si les douleurs sont trop intenses, on privilégie la pause ou le repos!
  • Vêtements de sport adaptés : Choisir des vêtements qui soutiennent bien sans être trop serrés peut aider à améliorer le confort général pendant l’effort.

6. En parler avec sa coach

Si ton ado se sent vraiment mal à l’aise, fatiguer plus que d’habitude, ou si elle a du mal à suivre le rythme de l’entraînement, c’est important d’en parler avec sa coach. Un bon entraîneur saura ajuster les exercices et s’assurer que l’intensité soit adaptée à son état. La communication est essentielle pour que l’adolescente ne se sente pas trop pressée et puisse se concentrer sur sa performance sans trop de stress.

Conclusion : Le sport, un allié pour le confort !

Finalement, même pendant ses menstruations, le sport peut être une véritable aide, comme le précise La Lancée. En ajustant l’intensité des entraînements et en prenant soin de son confort (matériel et nutrition), ton ado peut continuer à jouer tout en gérant ses règles de manière plus douce. Mais surtout, si jamais les douleurs sont vraiment trop fortes, ce n’est pas normal, et il vaut mieux consulter un médecin. Les règles ne devraient pas être un sujet tabou, plus de la moitié de la population en ont, donc il est grand temps d’en parler ouvertement.

Voilà, avec ces petites astuces, ton ado pourra prendre soin de son corps tout en continuant à performer sur le terrain, même pendant ses règles. Le sport, ce n’est pas seulement pour se défouler, mais aussi pour apprendre à mieux écouter son corps !

Coach Mel 💜

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Confiance en soi, dans le sport

Ton ado se sent nulle en sport ? Voici comment booster sa confiance en soi, une étape à la fois. Avec des astuces concrètes, un peu d’humour et beaucoup de bienveillance, aide-la à surmonter ses doutes et à s’épanouir sur le terrain.

Le manque de confiance en soi c’est normal

Tout le monde doute, même les pros

Avant tout, rassure-la : elle n’est PAS seule à ressentir ça. Même les athlètes de haut niveau ont déjà pensé qu’ils n’étaient pas à la hauteur, et ça arrive souvent encore. (Moi la première, j’ai eu mes phases “cactus sur le sable” au beach volley…). Le doute fait partie du jeu et prouve qu’elle se soucie de bien faire.

Le progrès, c’est inconfortable (et pas linéaire)

Le chemin de la progression ressemble moins à une autoroute bien droite qu’à une montagne russe : ça monte, ça descend, parfois ça stagne. Mais c’est normal ! Pour avancer, il faut sortir de sa zone de confort.

Ajoute ce mantra à son vocabulaire : « Le seul échec, c’est d’arrêter d’essayer. » Avec le temps, elle verra que chaque “moment galère” est une étape vers l’amélioration. Vouloir tout faire parfait pour éviter de se tromper résulte souvent à ne rien faire. Or, l’apprentissage, c’est rempli de moments imparfaits, où on se trompe souvent, et on progresse beaucoup!

Le paradoxe du progrès

Rappelle-lui cette réalité : plus on progresse, plus on est conscient de nos erreurs. C’est ce qu’on appelle le paradoxe du progrès. Quand on débute, on ne voit pas tout ce qu’il y a à améliorer. Mais quand on s’améliore, on perçoit mieux les subtilités et les points à travailler.

Ce n’est pas un signe d’échec, mais un indicateur qu’elle gagne en expertise. Dis-lui : “Si tu remarques plus de défauts, c’est que ton regard d’athlète s’affine. C’est une étape normale dans le chemin de la maîtrise.”

Les bonnes pratiques pour construire la confiance en soi

Arrête de te comparer… aux autres

Dans le sport (et la vie), la pire chose qu’on puisse faire est de se comparer aux autres. Le seul réflexe qui compte : se comparer à soi-même. Que fait-elle mieux qu’il y a un mois ? Est-ce qu’elle renvoie mieux le ballon, qu’elle gère mieux son stress en match ? Chaque personne progresse à son rythme. Alors, répétons ensemble : « Compare-toi à celle que tu étais hier, pas à celle d’à côté. »

Le Journal des Forces : C’est concret et motivant

Propose-lui une activité simple et efficace : le Journal des Forces.

Chaque soir d’entraînement, elle note deux choses :

  1. Une réussite technique (« J’ai réussi à faire 5 passes parfaites aujourd’hui »).
  2. Une réussite mentale (« Je suis restée concentrée même après une erreur »).

Évalue l’effort, pas seulement le résultat

Encourage-la à se demander : « Est-ce que j’ai donné tout ce que je pouvais aujourd’hui ?» Parce qu’au final, c’est l’effort qui compte. C’est comme construire une maison : chaque brique (même petite) compte pour le résultat final.

La répétition, mère de la confiance

La confiance, ça se construit à force de répétition. Aide-la à pratiquer ce qui la met en difficulté, mais avec bienveillance. Et pourquoi pas transformer ces séances de “pratique” en moment parent-ado ? Jouez ensemble et montre-lui que l’erreur fait partie du processus. Au début, les résultats ne sont pas immédiats. Normal, on n’apprend pas à devenir championne au beach volley avec seulement 2 passes! La confiance, c’est le même processus et ça se pratique aussi. Avec le temps, ces petites victoires cumulées deviendront une mine de confiance en soi.

Exemple concret : le 1 % de progrès

Imagine une situation simple : elle veut apprendre à faire 10 bonnes passes consécutives. Disons qu’aujourd’hui, elle en réussit 2. Pas impressionnant ? Eh bien, si elle améliore ses passes de 1 % à chaque pratique, dans 10 séances, elle sera passée de 2 passes réussies à presque 3 ! (Et oui, c’est le pouvoir des petites améliorations régulières, comme un effet boule de neige.)

Visualise ça comme remplir une tirelire : pour chaque belle action, elle dépose une pièce de 1$. Ça n’a pas l’air de grand-chose, mais à la fin de l’année, elle a une petite fortune. Avec le sport, c’est pareil : chaque effort, aussi petit soit-il, s’additionne pour bâtir une immense confiance.

Pour surmonter ce syndrome :

  • Revoir d’où elle vient : Regarder ses progrès passés pour ne pas se focaliser uniquement sur ce qu’elle doit encore améliorer.
  • Accepter que l’apprentissage est infini : C’est un voyage, pas une destination. Chaque étape franchie ouvre de nouvelles portes.

En conclusion : Confiance en soi, ça se pratique aussi

2 mots-clés à retenir : ACTION ET INTERACTION.
Action : C’est le fait de ne pas rester dans sa tête. Il faut agir et ça se pratique, comme le beach volley!
Interaction : Ne pas être seule, être soutenue et écouter les conseils bienveillants des modèles aide à avancer!

La confiance, ça se construit comme une pyramide, brique par brique. Et si parfois, elle doute (parce que ça arrivera toujours, c’est normal!), sois là pour lui rappeler qu’elle est capable. Parce qu’au final, tout ce qu’elle a besoin de savoir, c’est qu’elle n’est PAS nulle. Elle est toujours en chemin vers une version encore plus forte d’elle-même.

Si elle a aussi besoin d’aide pour son estime corporelle, j’ai rédigé un article à ce sujet.

Coach Mel 💜

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Mes réflexions de coach beach volley pour 2025

Réflexions de coach beach volley

2025 approche à grands pas, et avec elle, le lot de résolutions, de projets et d’introspections qu’on se promet chaque année (bon, avouons-le, parfois ça dure jusqu’à février… mais c’est l’intention qui compte, non ?).

En tant que coach, j’aime prendre un moment pour faire le point, comme on s’étire après un bon entraînement : parfois un peu douloureux mais toujours bénéfique. L’idée n’est pas juste de regarder ce qui n’a pas marché, mais de voir comment moi, comme coach et comme humaine, je peux progresser. Alors voici mes réflexions de coach beach volley sur ce qui guide ma vision pour l’année à venir.

 


Est-ce que je vais m’en souvenir dans 2 semaines, 2 mois ou 1 an ?

C’est une question que je me pose souvent, surtout dans les moments plus intenses. Une défaite serrée, de la pluie, un entraînement qui ne se passe pas comme prévu… Est-ce que ça va encore m’importer dans quelques mois ? Probablement pas. Mais les petites victoires, les échanges authentiques avec mes athlètes et les moments où je vois une étincelle de fierté dans leurs yeux, ça, je m’en souviens longtemps. Mon objectif pour 2025 est donc de continuer à choisir mes batailles et de prioriser ce qui a vraiment de la valeur.


Progresser passe par l’inconfort

Autant pour mes athlètes que pour moi, les plus grandes évolutions viennent souvent des moments où on est en dehors de notre zone de confort. C’est parfois difficile de pousser une équipe ou une joueuse à essayer quelque chose de nouveau, mais c’est aussi là que la magie opère. Cette année, je veux embrasser ces moments d’inconfort avec plus de courage et montrer l’exemple : affronter mes propres défis pour encourager mes athlètes à faire de même.


1 % d’amélioration sur mon « ancien » moi

Chaque saison, je me demande comment être une meilleure version de moi-même, sans chercher la perfection (spoiler : elle n’existe pas). Si je peux m’améliorer un peu chaque jour—être plus patiente, mieux gérer ma fatigue, offrir des entraînements encore plus enrichissants—alors je suis sur la bonne voie. En 2025, je vais continuer à chercher ces petits gains, parce que c’est eux qui mènent aux grands changements.


Le beach volley est le chemin, pas la destination

Parfois, on est tellement axés sur les résultats qu’on oublie tout le reste : les rires pendant les échauffements, les complicités qui se créent, les progrès qu’on fait ensemble. En tant que coach, je veux que mes athlètes apprennent à apprécier le processus autant que les performances. Parce qu’au final, ce sont ces moments qui comptent vraiment.


Admirer le parcours chaque jour

C’est facile de se perdre dans les objectifs à long terme et d’oublier de savourer le moment présent. En 2025, je veux m’assurer de prendre le temps de célébrer chaque petit succès, chaque sourire, chaque effort. Parce que la vie, tout comme le volley, est faite de petits instants précieux.


Résumé de mes réflexions de coach beach volley

La vie est belle, fragile et se vit maintenant

Finalement, Je me dis toujours que rien n’est garanti. En résumé, cela signifie :

  • Prioriser le progrès sur la performance : Célébrer les efforts avant les résultats.
  • Rêver grand et prendre soin de moi : Parce qu’un coach épanoui est un meilleur coach.
  • Apprécier le chemin : Parce qu’on peut jamais prédire à 100% où ça nous mène, aussi bien profiter de chaque pas!

Voilà mes réflexions de coach beach volley pour 2025. Maintenant, c’est parti!

Coach Mel 💜

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Erreurs fréquentes des débutants

Ah, le volley-ball de plage ! Ce sport qui sent bon l’été, le sable chaud et l’esprit d’équipe. Mais quand ton ado décide de se lancer, il peut parfois y avoir quelques obstacles en chemin. Pas de panique, c’est normal ! Voici un petit guide pour toi, histoire de repérer et corriger les erreurs fréquentes des débutants, tout en les encourageant à s’épanouir dans ce sport formidable.

Erreur fréquente #1  Rester immobile

C’est l’une des erreurs classiques : ton ado est figé comme une statue, attendant que la balle vienne à lui. Le volley-ball de plage, c’est tout l’inverse : c’est un sport où il faut être fluide, toujours en mouvement. Elle doit se placer rapidement, anticiper les actions et rester légère sur les pieds pour être réactive. Elle peut regarder des vidéos des athlètes professionnels et attirer son attention sur leurs déplacements. C’est souvent impressionnant de voir à quel point les filles sont constamment en mouvement et se déplacent avec un tel synchronisme.

Erreur fréquente #2 : Négliger la vision du jeu

Évidemment, apprendre à servir, à réceptionner et à attaquer correctement est crucial. Mais si ton ado se concentre uniquement sur la technique, elle pourrait passer à côté d’autres aspects essentiels, comme la vision du jeu. J’encourage les athlètes à lever la tête, à observer où sont placées ses adversaires et à comprendre comment mieux collaborer avec sa partenaire. Une bonne vision du jeu permet d’intégrer la technique de manière plus naturelle. Plusieurs exercices que j’utilise ne nécessitent pas de technique en volley, mais permettent de voir où placer la balle pour surprendre l’adversaire.

Erreur fréquente #3 : Sous-estimer la préparation physique du beach volley

Le volley-ball de plage, ce n’est pas juste taper dans un ballon sur le sable : c’est aussi un sport qui demande beaucoup d’endurance, de stabilité et de force. Beaucoup de débutants (et leurs parents) n’en réalisent pas l’ampleur avant d’arriver en tournoi ! Pour aider les ados à se préparer, j’intègre des exercices de renforcement musculaire aux entraînements, comme des fentes (lunges), des squats et des exercices pour les chevilles. On travaille même le cardio et la vitesse avec des exercices de jeu spécifiques. Ni vu, ni connu!

Erreur fréquente #4 : Ne pas s’adapter aux imprévus

Le volley-ball de plage est un sport plein d’imprévus : le vent, le soleil, les adversaires… tout change constamment ! Certains jeunes ont du mal à s’adapter à ces changements, mais c’est une compétence essentielle à développer. J’aide les athlètes à réaliser qu’être flexible et trouver des solutions créatives fait partie du jeu. Par exemple, si le vent souffle fort, il faudra ajuster ses services. La communication avec son partenaire est essentielle : à deux, elles peuvent couvrir beaucoup plus de terrain qu’ils ne le pensent. Si besoin, tu peux aussi lire l’article sur les différences entre volley-ball en salle et volley-ball de plage pour mieux comprendre ces adaptations.

Erreur fréquente #5 : Ne pas avoir le bon équipement

Un équipement inadapté peut transformer un bel après-midi de volley en une journée pas terrible. Voici quelques éléments à ne pas négliger :

  • Sandsocks : Ces chaussettes spéciales protègent les pieds du sable brûlant ou très froid.
  • Lunettes de soleil : Indispensables pour protéger les yeux des rayons UV et du sable.
  • Vêtements en couches (style oignon) : La météo peut changer rapidement, surtout au Québec ! Prévoir un chandail léger, un legging, un coton ouaté ou un imperméable.
  • Collations énergétiques : Les matchs peuvent être longs et intenses. Avoir des fruits secs, des barres énergétiques ou des électrolytes sous la main peut faire toute la différence.

Pour plus de conseils pratiques, consulte notre article Guide d’initiation au volley-ball de plage.

Un message pour les parents d’ados débutants au beach volley

Ton ado est en pleine découverte d’un sport exigeant, mais tellement enrichissant. Ton soutien, tes encouragements et ta présence font toute la différence. Aide-le à voir chaque erreur comme une opportunité d’apprendre et rappelle-lui qu’au volley-ball de plage, comme dans la vie, c’est le chemin qui compte.

Coach Mel 💜

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Entrainements volleyball de plage à Montréal

Image, coacher une équipe qui perd

Bon, on va pas se mentir, coacher une équipe qui perd, c’est pas exactement le genre de scénario qu’on rêve de vivre. Et pourtant, c’est là que se cachent certaines des plus belles leçons de vie. Je parle d’expérience, parce que cette année, j’ai été confrontée à cette réalité avec un groupe de jeunes athlètes de 12 ans. Moi qui suis hyper-compétitive de nature, j’avais peur de replonger dans ces sensations d’échec que j’ai connues comme joueuse : frustrations, stress, perte de confiance… Mais contre toute attente, cette aventure a été une des plus enrichissantes de ma carrière.

Voici le chemin que j’ai emprunté, et qui pourrait aussi aider les parents à soutenir leurs jeunes dans ces moments délicats :

1. Ne jamais cesser de croire en elles

Ces jeunes filles sont souvent énergétiques, motivées, mais facilement déconcentrées par le stress et l’ambiance autour. C’est crucial de leur montrer que vous croyez en elles, dans la victoire comme dans la défaite. Et ça passe par des gestes concrets : par exemple, après un échauffement où elles étaient engagées et focus, je leur ai dit à quel point j’étais fière de la façon dont elles se comportaient. Même si le match qui a suivi n’a pas été à la hauteur, elles savaient que je voyais leur progression.

Croire en elles, ce n’est pas seulement pour leurs performances sur le terrain, mais aussi pour la personne qu’elles sont. Soulignez leurs qualités : leur leadership, leur esprit d’équipe, leur enthousiasme. Par exemple, une de mes joueuses a toujours une attitude positive, même après une défaite difficile, et je prends le temps de lui dire combien cette énergie est précieuse pour l’équipe.

2. Changer de perspective

Le volley-ball, c’est un marathon, pas un sprint. Vos ados vont jouer encore des années, avec des hauts et des bas. Leur rappeler que chaque victoire ou défaite est une étape d’un long parcours, c’est leur apprendre la résilience. Même les meilleures du monde perdent et doivent constamment rebondir!

En entraînement, on s’est concentrées sur les progrès : qu’est-ce qu’elles faisaient mieux qu’à l’entraînement précédent ? Par exemple, après quelques semaines, j’ai noté qu’elles se déplaçaient beaucoup mieux en défense. Ces petites victoires comptent et montrent que la progression est constante.

En se comparant à elles-mêmes avec une référence concrète, on évite la comparaison avec les autres. Je leur précise aussi que chacune évolue à son rythme, tant physiquement que techniquement. Cela enlève beaucoup de pression inutile.

3. Choisir le narratif

Parfois, les conditions ne jouent pas en votre faveur : une équipe plus petite, qui s’entraîne moins souvent. Vous pouvez adopter un narratif de justification (« On perd parce qu’on est désavantagées ») ou choisir de vous concentrer sur ce qui est dans votre contrôle. Quand j’étais jeune, dans des conditions similaires, on est devenues une équipe ultra-efficace en défense, qui ne lâchait jamais rien ! Cette mentalité nous a permis de surprendre nos adversaires et de progresser bien plus vite que prévu. Ce mindset peut transformer des défis en opportunités de grandir.

4. Valider leurs émotions

C’est normal d’être déçue. En fait, ça montre qu’elles tiennent à leur sport. Plutôt que de minimiser ou ignorer leurs sentiments, validez-les. Après une défaite, les filles avaient la mine basse à l’entraînement. J’ai pris un moment au début de la séance pour qu’elles expriment ce qu’elles ressentaient. Une d’entre elles m’a confié qu’elle avait l’impression d’avoir laissé tomber l’équipe. En l’écoutant, sans jugement, je lui ai montré que ses efforts étaient visibles et appréciés, même si elle ne voyait pas les résultats immédiatement. Même que généralement, ce sont les coéquipières qui remontent le moral des autres et ça soude encore plus l’équipe.

Ensuite, je leur ai demandé de partager un élément qu’elles pensent avoir bien fait et un autre qu’on pourrait continuer à améliorer. Ce moment d’échange les aide à canaliser leurs émotions et à se recentrer sur des aspects constructifs.

5. Montrer l’exemple

Votre humeur donne le ton. Si vous arrivez dans le gym sourire aux lèvres, la tête haute et un calme légendaire même après une série de défaites, vos ados ressentiront cette énergie positive. En tant que coach, je me rappelle que les résultats ne changent pas la perception que j’ai de mes athlètes. Par exemple, après un match difficile, au lieu de me focaliser sur le score, je leur demande : « Est-ce que tu penses avoir donné ton maximum aujourd’hui ? » Cette approche dédramatise la défaite et valorise l’effort.

6. Souligner l’effort et la persévérance

Une défaite, ce n’est pas la fin du monde. Lors d’un match particulièrement serré, nous avons perdu un set à deux points près. La première chose que je leur ai dit a été de se souvenir de ce sentiment d’avoir tout donné, de s’être battues pour chaque point. Elles avaient les yeux qui brillaient malgré la défaite, car elles savaient qu’elles avaient joué avec cœur. C’est aussi satisfaisant que de remporter un match, à condition qu’on prenne le temps de le souligner.

7. Célébrer les petites victoires

Une fille qui réussit à passer son service pour la première fois, un effort défensif remarquable… c’est aussi important ! Lors d’un tournoi, nous avons gagné un set contre une équipe beaucoup plus expérimentée. C’était comme si nous avions remporté le championnat, et je me suis assurée que les filles ressentent cette fierté. Ces moments méritent d’être applaudis.

8. Valoriser le collectif

Le volley, c’est avant tout un sport d’équipe. Rappelez-leur qu’elles sont toutes importantes, en match comme à l’entraînement. Lors d’un match, une de mes joueuses a encouragé une coéquipière après une erreur coûteuse. Je leur ai dit à quel point ce geste avait renforcé l’équipe. Personne ne joue pour perdre, tout le monde veut donner son maximum, et c’est ensemble qu’on y arrive.

9. Rendre les entraînements amusants

Quand les résultats ne suivent pas, il faut réapprendre à s’amuser. À certains moments, j’ai réintégré des défis ou des jeux pendant les entraînements pour relâcher la pression. Par exemple, un concours pour voir qui pouvait réussir le plus de services consécutifs a ramené des sourires et une saine compétition.

10. Donner des rétroactions positives

Peu importe le score, mettez en avant la progression. Et montrez à votre ado pourquoi vous l’appréciez en tant que personne. Soyez concret : « J’ai adoré la manière dont tu as été proactive sur le terrain aujourd’hui. » Lors d’un match, une joueuse a pris l’initiative de calmer l’équipe lors d’un temps mort. Je lui ai dit à quel point j’étais impressionnée par son leadership.

11. Les aider à gérer leur stress

Beaucoup de jeunes arrivent hyper stressés avant un match. Aidez-les à rester dans le moment présent : étirez-vous avec elles, encouragez-les à respirer profondément et à relâcher la tension. Lors d’un tournoi, j’ai appris à mes filles une routine de respiration avant chaque service, et ça a fait une différence énorme sur leur niveau de concentration.

Et les parents, dans tout ça ?

Vous jouez un rôle clé ! En tant que parents, votre soutien et vos encouragements comptent énormément. Parlez-leur de leurs efforts, pas seulement des résultats. Demandez-leur comment elles se sentent, ce qu’elles ont appris. Et surtout, restez leur plus grand fan, dans la victoire comme dans la défaite.

Parce qu’au final, le sport, c’est bien plus qu’une question de score. C’est une école de vie, où on apprend à persévérer, à résilier, et à croire en soi!
Vivre ces moments plus difficiles nous font encore plus apprécier les victoires. Et si la situation est bien gérée, ça peut même rapprocher ton ado et les filles de son équipe.

Coach Mel 💜

Image, différences entre beach volley et volley intérieur

Quand on parle de volleyball, deux univers distincts viennent en tête : le beach volley, avec son ambiance ensoleillée et ses terrains de sable, et le volley intérieur, rapide et intense. Mais qu’est-ce qui change, vraiment  ? Voici un guide complet pour comprendre  les différences entre le volley et le beach volley.


1. Le terrain : sable ou parquet ?

L’une des différences entre volley et beach volley la plus visible est celle du terrain.

  • Beach volley : Le terrain mesure 8m x 16m et est recouvert de sable. Ce sol rend les déplacements plus lents, mais il sollicite intensément les jambes et l’équilibre. Jouer pieds nus procure une sensation unique, mais le sable peut être chaud ou humide selon les conditions météo.
  • Volley intérieur : Le terrain est légèrement plus grand (9m x 18m) et fait de parquet ou de matériau synthétique, offrant des appuis rapides et précis.

Astuce parent : Pour le beach volley, prévois des sandsocks pour protéger les pieds de ton ado, surtout en pleine chaleur !


2. Le nombre de joueurs : 2 contre 6

  • Beach volley : Chaque équipe est composée de deux joueurs seulement. Pas de rôle fixe : chaque joueur doit maîtriser toutes les techniques (service, passe, attaque, défense). La complicité entre les deux partenaires est essentielle.
  • Volley intérieur : Les équipes comptent six joueurs, chacun ayant un rôle précis, comme passeur, libéro ou attaquant. La coordination entre les joueurs est complexe mais bien orchestrée.

Pourquoi c’est cool en beach : Ton ado sera plus actif, apprendra à tout faire et développera des compétences variées.


3. Techniques de jeu : puissance ou finesse ?

  • Beach volley : Les conditions extérieures (vent, soleil) influencent le jeu. Les frappes sont plus stratégiques, visant des zones ouvertes plutôt que des smashs ultra-puissants. Le service est souvent travaillé pour inclure des effets, et les passes sont plus hautes pour compenser le sable.
  • Volley intérieur : Les frappes sont puissantes et rapides, favorisées par le sol stable. Les échanges sont intenses et explosifs, et chaque joueur se concentre sur son rôle spécifique.

4. L’effort physique : endurance ou force ?

  • Beach volley : Jouer dans le sable mobilise davantage les muscles des jambes et demande une bonne endurance. De plus, les joueurs doivent gérer la chaleur, le soleil, le vent et parfois même la pluie.
  • Volley intérieur : Les efforts sont explosifs et rapides, mais le parquet facilite les déplacements et les sauts. L’environnement est contrôlé (pas de météo à gérer).

Astuce parent : En beach volley, l’hydratation est primordiale. Encourage ton ado à toujours avoir une bouteille d’eau (ou d’eau fruitée pour varier).


5. Tactique : adaptabilité ou organisation ?

  • Beach volley : Avec seulement deux joueurs par équipe, la stratégie repose sur l’adaptabilité et la communication. Chaque joueur couvre une grande partie du terrain, et les décisions tactiques doivent s’ajuster rapidement aux conditions extérieures et au jeu de l’adversaire.
  • Volley intérieur : La tactique est complexe, avec des schémas bien établis pour chaque phase de jeu. Les joueurs se concentrent sur leurs rôles, et la stratégie collective est au cœur des performances.

6. L’ambiance : plage et détente ou gymnase et intensité ?

  • Beach volley : L’ambiance est conviviale et décontractée, même lors des compétitions. Le cadre naturel, souvent en plein air, crée une expérience unique et motivante pour les jeunes.
  • Volley intérieur : L’atmosphère est plus compétitive, et les matchs se jouent souvent devant un public bruyant dans des gymnases fermés.

Pourquoi le beach volley peut séduire ton ado : C’est un sport qui allie performance et plaisir, tout en favorisant un lien particulier avec la nature.

tableau comparatif, différences entre beach volley et volley intérieur

Pourquoi choisir le beach volley ?

Le beach volley est un sport qui pousse les athlètes à se dépasser, à apprendre à gérer l’inattendu et à savourer des moments uniques sur le sable. En tant que parent, tu verras ton ado gagner en confiance, développer son autonomie, et surtout, profiter d’un sport qui allie performance et plaisir dans un cadre exceptionnel.

N’hésite pas à consulter aussi le guide d’initiation au beach volley.

Coach Mel 🌞

Coach Mel -Sandbox volleyball

Entrainements volleyball de plage à Montréal

Astuces nutrition sportive d’une athlète imparfaite

Ton ado déborde d’énergie sur le terrain, mais dès qu’il rentre à la maison, c’est une autre histoire : fringales, fatigue et humeur en montagnes russes ? Je suis passée par là en tant qu’athlète et entraîneure. J’ai appris que la nutrition sportive peut transformer une journée d’entraînement difficile en succès. Et pas besoin de repas parfaits ni de négocier chaque bouchée !

Avec ces astuces nutrition sportive, simples, gourmandes et réalistes, tu peux soutenir ton jeune tout en gardant ta propre santé mentale intacte.

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1. Ne jamais sauter un repas — surtout le déjeuner

Le déjeuner, c’est le carburant pour toute la journée. En le sautant, c’est comme commencer un match sans échauffement. Des glucides complexes et des protéines donneront à ton ado l’énergie qu’il lui faut pour bien commencer.

Astuce nutrition sportive :

Un bol de gruau avec des fruits frais et du yogourt grec, ou un sandwich déjeuner avec avocat et œuf sont des options rapides et nourrissantes.

2. Mettre du bon gaz dans sa fusée

Pour bien performer, les aliments ultra-transformés (chips, bonbons, boissons sucrées) sont à éviter près des heures d’entraînement. Mettre du ”bon gaz” est nécessaire à une bonne performance, et cet argument peut motiver une ado qui prend son sport au sérieux. Une bonne nutrition sportive mise sur des aliments frais et riches en nutriments.

Remplacement malin :

Troque les barres sucrées pour des noix avec fruits frais ou une barre de chocolat par le lait au chocolat dilué avec du lait.

3. L’équilibre 80/20 : santé et plaisir

Je suis la première à me transformer en diablesse mutante si je me prive trop! La règle 80 % santé / 20 % plaisir aide à garder le cap sans frustration. Quelques gâteries sont permises tant qu’elles ne deviennent pas la norme.

Idée gourmande :

Un muffin maison aux bananes et chocolat noir pour combiner plaisir et énergie.

4. Des petits changements, ça compte

Pas besoin de tout révolutionner. De petits ‘’twists’’ suffisent : remplacer le pain blanc par du pain avec farine intégrale ou la mayo par de l’avocat pour plus de nutriments. Ça passe souvent même inaperçu auprès des ados!

5. Écouter les signaux du corps

Ton corps te parle! Fatigue, faim constante, manque de concentration, crampes musculaires, crampes menstruelles : ce sont des messages importants. Aide ton jeune à écouter ces signaux pour ajuster ses habitudes alimentaires.

6. Prévoir des collations prêtes à l’emploi

Un sac rempli d’options nutritives sauvera ton ado des choix impulsifs (et des chips de la distributrice). Des fruits, des amandes ou des barres protéinées maison sont parfaits.

7. S’hydrater avec une touche de créativité

De l’eau reste la meilleure option, mais on peut l’améliorer : des tranches de citron, des baies congelées ou de la menthe fraîche ajoutent du plaisir sans une tonne de sucre en dehors des entraînements.

Astuces nutrition sportive pour convaincre ton ado

C’est beau tout ça, mais comment sensibiliser aussi ton ado?
Voici un petit résumé ludique qui s’adresse à elle, en toute simplicité!

Avec ces astuces nutrition sportive, tu auras des solutions simples et savoureuses pour soutenir ton athlète au quotidien.

Pour aller plus loin en nutrition sportive, consulte aussi cet article

L’équilibre entre plaisir et performance fait la différence — pas la perfection !

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